ne pas prendre les médias à la lettre…
Evidement qu’il ne faut pas les prendre à la lettre puisqu’ils ont trois problèmes:
1/ Formation: la plupart des sujets polémiques (OGM, Vaccins, hormones, réchauffement, Durabilité…) sont des sujets hautement scientifiques traités par des ex étudiants de science Po…
2/ Sous le sacro-saint droit à l’information, aucune sanction possible pour traitement honteusement orienté ou fallacieux de l’information. A quand un label Qualité: le journaliste en apposant ce label sur son article reconnait avoir suivi une procédure professionnelle d’enquête, avoir contacté tous les intervenants possibles et leur donner la parole de façon équilibrée, ne pas mettre ses propres opinions en avant… il accepte d’être attaqué comme tout a chacun sur ces écrits. Et en parallèle, il peut continuer à écrire ce que bon lui semble sans aucune vérification (comme aujourd’hui) mais la en laissant donc clairement savoir au lecteur que c’est de la presse d’opinion et non de science…
3/ Pour vendre il faut faire peur, amplifier déformer, faire la Une!! comme on dit quel est l’intérêt des trains qui arrivent l’heure???
ce que je trouve particulièrement inquiétant c’est que ces commentaires me semblent tout autant applicables à nos politiques…
Bonjour enthousiaste à l’idée d’être plus calme avec de l’énergie après 2 ans sans TV…Je suis devenu acteur de ma vie plus que spectateur en regardant internet quand je veux, regarder ce que je veux. La vie optimiste productive m’a amené à créer un atelier « POSITIVER » basé sur du vécu.
MERCI de propager cette mouvance de vie réaliste.
Bernard
Bonjour,
Je suis tout a fait d’accord avec le sujet. Je fuis les infos à la télé et pour ne pas restée dans l’ignorance je les écoute à la radio rapidement pendant mon trajet pour aller au travail. Je les regarde sur le net mais en ne lisant que les titres et j’approfondis ce qui m’intéresse.
J’applique cette méthode depuis des années et je ne suis plus polluée par le négativisme des médias. Jocelyne
Bonjour et merci pour ce bel article.
Je me suis libérée des média progressivement car j’avais peur de manquer d’informations. Partout autour de moi, les gens parlaient des drames qui se déroulaient dans le monde. On me disait : « comment, tu n’es pas au courant ? » Donc, j’écoutais de temps à autre un journal. Le résultat était toujours le même : je me sentais mal après. Aussi, je choisis aujourd’hui ce que je veux lire sur internet. Je choisis un programme radio qui m’intéresse. Quand mes collègues ont envie de partager des nouvelles entendues sur les média, je réponds que je ne peux rien faire pour changer ce qui est déjà là et je m’éclipse doucement. Là, j’ai tout le loisir de construire un « autre monde ». Je le partage avec tous ceux qui veulent bien l’entendre. Il est plus serein, plus positif, plus joyeux. Je me porte mieux. Merci
Patricia Piedvache
12 août 2013 à 14h15 - Répondre
Bonjour
Cela fait maintenant plus de trois ans que j’ai décidé de ne plus regarder les médias et je m’en félicite tous les jours depuis ! J’ai enfin libéré mon esprit du poids de tous ces discours alarmistes, pessimistes, culpabilisants, directifs, etc qui ne visent qu’à nous maintenir, nous, « petit peuple » et « non initié » dans un état proche de l’anesthésie !
J’ai retrouvé ma naturelle joie de vivre et je cultive mon optimisme qui me permet de raisonner en « solutions » et non plus en « le problème c’est que… »
J’ai également retrouvé mon sens critique, sens essentiel pour ne pas grossir le « troupeau » !
Bonjour
Ne faisons pas un procès sans fin aux médias, car la liberté et la pluralitè de la presse sont les richesses de notre démocratie. Une écoute appropriée et un choix judicieux des sources d informations sont toujours possibles.
S ouvrir plus aux informations internationales permet d élargir le champs des réflexions. Notre pays est riche aussi de son journalisme.
Sylvie
ne pas prendre les médias à la lettre…
Evidement qu’il ne faut pas les prendre à la lettre puisqu’ils ont trois problèmes:
1/ Formation: la plupart des sujets polémiques (OGM, Vaccins, hormones, réchauffement, Durabilité…) sont des sujets hautement scientifiques traités par des ex étudiants de science Po…
2/ Sous le sacro-saint droit à l’information, aucune sanction possible pour traitement honteusement orienté ou fallacieux de l’information. A quand un label Qualité: le journaliste en apposant ce label sur son article reconnait avoir suivi une procédure professionnelle d’enquête, avoir contacté tous les intervenants possibles et leur donner la parole de façon équilibrée, ne pas mettre ses propres opinions en avant… il accepte d’être attaqué comme tout a chacun sur ces écrits. Et en parallèle, il peut continuer à écrire ce que bon lui semble sans aucune vérification (comme aujourd’hui) mais la en laissant donc clairement savoir au lecteur que c’est de la presse d’opinion et non de science…
3/ Pour vendre il faut faire peur, amplifier déformer, faire la Une!! comme on dit quel est l’intérêt des trains qui arrivent l’heure???
ce que je trouve particulièrement inquiétant c’est que ces commentaires me semblent tout autant applicables à nos politiques…
Bien à vous,
Laurent
Bonjour enthousiaste à l’idée d’être plus calme avec de l’énergie après 2 ans sans TV…Je suis devenu acteur de ma vie plus que spectateur en regardant internet quand je veux, regarder ce que je veux. La vie optimiste productive m’a amené à créer un atelier « POSITIVER » basé sur du vécu.
MERCI de propager cette mouvance de vie réaliste.
Bernard
Bonjour,
Je suis tout a fait d’accord avec le sujet. Je fuis les infos à la télé et pour ne pas restée dans l’ignorance je les écoute à la radio rapidement pendant mon trajet pour aller au travail. Je les regarde sur le net mais en ne lisant que les titres et j’approfondis ce qui m’intéresse.
J’applique cette méthode depuis des années et je ne suis plus polluée par le négativisme des médias. Jocelyne
Bonjour et merci pour ce bel article.
Je me suis libérée des média progressivement car j’avais peur de manquer d’informations. Partout autour de moi, les gens parlaient des drames qui se déroulaient dans le monde. On me disait : « comment, tu n’es pas au courant ? » Donc, j’écoutais de temps à autre un journal. Le résultat était toujours le même : je me sentais mal après. Aussi, je choisis aujourd’hui ce que je veux lire sur internet. Je choisis un programme radio qui m’intéresse. Quand mes collègues ont envie de partager des nouvelles entendues sur les média, je réponds que je ne peux rien faire pour changer ce qui est déjà là et je m’éclipse doucement. Là, j’ai tout le loisir de construire un « autre monde ». Je le partage avec tous ceux qui veulent bien l’entendre. Il est plus serein, plus positif, plus joyeux. Je me porte mieux. Merci
Bonjour
Cela fait maintenant plus de trois ans que j’ai décidé de ne plus regarder les médias et je m’en félicite tous les jours depuis ! J’ai enfin libéré mon esprit du poids de tous ces discours alarmistes, pessimistes, culpabilisants, directifs, etc qui ne visent qu’à nous maintenir, nous, « petit peuple » et « non initié » dans un état proche de l’anesthésie !
J’ai retrouvé ma naturelle joie de vivre et je cultive mon optimisme qui me permet de raisonner en « solutions » et non plus en « le problème c’est que… »
J’ai également retrouvé mon sens critique, sens essentiel pour ne pas grossir le « troupeau » !
Bonjour
Ne faisons pas un procès sans fin aux médias, car la liberté et la pluralitè de la presse sont les richesses de notre démocratie. Une écoute appropriée et un choix judicieux des sources d informations sont toujours possibles.
S ouvrir plus aux informations internationales permet d élargir le champs des réflexions. Notre pays est riche aussi de son journalisme.
Sylvie