Les noms de Walt Disney, Elvis Presley et Steve Jobs ne sont habituellement pas associés à l’échec.
Toutefois, avant que ces stars réussissent dans leur carrière, ils ont d’abord échoué, ont été licenciés, ou entendu le mot « non » d’innombrables fois. Mais ils n’ont jamais abandonné.
Voici 10 exemples de personnalités qui ont échoué avant de devenir célèbres.
On a dit à Walt Disney qu’une souris ne marcherait jamais au cinéma.
Avant que Walt Disney ne construise l’empire qu’on connaît, il a été viré par un rédacteur de journal parce qu’il « manquait d’imagination et n’avait pas de bonnes idées »
En 1921, Walt créa sa première entreprise de films d’animation à Kansas City. Il fut contraint de la dissoudre car il ne pouvait pas payer son loyer. Il aurait survécu en mangeant des aliments pour chiens.
Quand Walt Disney a essayé d’obtenir que les studios MGM distribuent Mickey Mouse en 1927, il lui a été répondu que l’idée ne marcherait jamais parce qu’une souris géante à l’écran allait effrayer les femmes.
J.K. Rowling était au RMI.
J.K. Rowling n’était qu’une mère divorcée qui avait du mal à s’en sortir, tout en fréquentant l’école et en écrivant un roman pour enfants.
Heureusement, elle persévéra et son roman « Harry Potter » fut un énorme succès qui fit de Rowling une milliardaire.
On a dit à Oprah Winfrey qu’elle était « inapte à la télévision »
À l’âge de 22 ans, elle a été licenciée de son travail de journaliste à la télévision parce qu’elle était « inapte pour la télévision. » Oprah Winfrey a été congédiée de son poste de co-présentatrice des nouvelles de 6 heures sur WJZ Baltimore-TV après que son émission ait reçu de mauvaises évaluations.
Elle a ensuite été rétrogradée à la télévision le matin, où elle a trouvé sa voix et son compatriote débutant Gayle King, qui allait devenir son producteur et éditeur de O, The Oprah Magazine.
Sept ans plus tard, Oprah Winfrey a déménagé à Chicago, où son talk-show a dominé la télévision pendant 25 ans, et où elle possède désormais sa propre chaîne, OWN.
Oliver Stone a quitté l’école.
Le cinéaste trois fois oscarisé Oliver Stone a quitté Yale pour écrire son premier roman, qui fut refusé par les éditeurs. Quand il a finalement été publié en 1998, le roman n’a pas été bien reçu et Oliver Stone dut partir au Vietnam pour enseigner l’anglais.
Du coup, il s’enrôla dans l’armée et participa à une bataille qui lui valut deux Purple Hearts et l’aida à trouver l’inspiration pour son travail, souvent centré autour de la guerre, comme « Platoon », « Né un 4 Juillet » et « Tueurs nés ».
Steven Spielberg fut refusé à l’école de cinéma… trois fois.
Steven Spielberg a été refusé trois fois à l’école de théâtre et cinéma de l’University of Southern California. Il alla finalement dans une autre l’école, mais devint metteur en scène sans avoir obtenu son diplôme.
Trente-cinq ans après avoir débuté ses études, Spielberg retourna à l’école en 2002 pour finalement terminer son travail et recevoir son diplôme.
Spielberg déclara : « Je voulais le faire depuis de nombreuses années, pour dire merci à mes parents de m’avoir donné l’opportunité de recevoir une éducation et permis faire une carrière. »
Quand les Beatles ont débuté, une société d’enregistrement leur a dit non.
Le studio d’enregistrement Decca, qui avait enregistré 15 chansons avec le groupe, a déclaré: « nous n’aimons pas leur son et les groupes à guitare sont en voie de disparition. Ils n’ont pas d’avenir dans le show business. »
Aujourd’hui, les Beatles sont le groupe qui a vendu le plus de disques au monde.
Stephen King a reçu 30 refus pour « Carrie ».
En 1973, Stephen King travaillait comme professeur d’anglais dans le Maine et vendait également des nouvelles pour joindre les deux bouts. Cette même année, après 30 refus pour son premier roman « Carrie » Stephen King décida d’abandonner le livre.
Sur l’insistance de son épouse, il présenta à nouveau le manuscrit, qui fut finalement publié.
Aujourd’hui, après avoir publié des centaines de livres, Stephen King est l’un des auteurs les plus vendus de tous les temps et « Carrie » en est à son deuxième re-make.
Michael Jordan a été exclu de son équipe de basket-ball au lycée.
Après avoir été exclu de son équipe de basket-ball du lycée, le jeune Michael Jordan rentra chez lui et pleura amèrement dans sa chambre.
Mais Jordan n’a pas laissé cet échec l’empêcher de jouer et la superstar du basket a déclaré un jour : « J’ai raté plus de 9000 tirs dans ma carrière. J’ai perdu près de 300 matchs. 26 fois, on m’a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j’ai raté. J’ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c’est pourquoi je réussis. »
Steve Jobs a été viré de la société qu’il a créée.
Après avoir abandonné ses études et s’être fait licencier sans ménagement de la société Apple qu’il avait fondée, il était un homme fini, à 30 ans.
Dans un discours prononcé en 2005 à l’Université Stanford, il a expliqué « Je ne l’ai pas compris alors, mais il s’est avéré que le fait d’avoir été viré d’Apple était la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. Le poids de la réussite a été remplacé par la légèreté d’être à nouveau un débutant sans certitudes. Cela m’a libéré pour entrer dans une des périodes les plus créatives de ma vie. »
Après son retour à Apple, Jobs a créé plusieurs produits emblématiques tels que iPod, iPhone et iPad, qui ont changé le visage de la technologie grand public pour toujours.
Elvis Presley s’est fait virer après sa première représentation.
En 1954, Elvis était encore un artiste inconnu, et le directeur du Grand Ole Opry vira Elvis Presley après un seul spectacle en lui disant : « Tu ne vas nulle part, mon garçon. Tu ferais mieux de retourner conduire un camion. »
Elvis est devenu le deuxième vendeur de disques de tous les temps.
Source : http://www.businessinsider.com/15-people-who-failed-before-becoming-famous-2012-10
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Connaissez-vous d’autres exemples d’échec salutaire qui ont conduit au succès ?
Pensez-vous que la persévérance est une des qualités de l’optimiste ?
Vous pouvez réagir en laissant en commentaire.
Allez … chiche … « est-il possible de rassembler une liste de 10 personnes françaises ayant également vécus des échecs ? »
Voilà ma réflexion quant à nos amis Américains, Anglais (Beatles … je vous aime, John avec ton Imagine …)
Où sommes-Nous ? Une bonne réflexion pour lancer un défi, non 😉
Je me rappelle, l’image que l’on pouvait faire du mauvais élève …
=> au coin, avec un bonnet d’âne et pourtant un âne c’est tenace, robuste 😉
=> des ratures en rouge pour les mauvaises fautes
=> les punitions et 100 lignes
et quelle est la vision dans les autres pays ?
L’ouverture … la mondialisation … le net … cela a du bon et moi, j’aime cela, quant à faire, je préfère regarder ce qui est bon.
Et bien oui, lorsque vous mangez un fruit, vous retirer la peau non 😉
Merci Yves, pour ce paradoxe très intéressant et stimulant; tes exemples me rappellent ce que Dominique Lapierre nous avait raconté à propos de son best-seller: « La Cité de la Joie ».
Revenant de Calcutta, il avait parlé de son projet à son éditeur, qui lui avait dit: « un roman sur un bidonville, ça ne marchera jamais – jamais ! »…
La Cité de la Joie s’est vendu à 9 millions d’exemplaires…
Merci Sophie et Christophe pour votre commentaire.
Des exemples français, il y en a bien sûr.
Pensez à Henri Salvador, qui n’avait même plus de maison de disques quand il a sorti son disque « Chambre avec vue » et son titre phare « Jardin d’hiver ».
Ou à Belmondo. Tenté par la carrière d’acteur, il passe une audition peu concluante. Il prépare tout de même le Conservatoire. Lorsqu’il en sortira, le jury ne lui décernera qu’un premier accessit pour Amour et piano de Feydeau et un second accessit pour les Fourberies de Scapin.
Amicalement,
Yves de Montbron
Oui, pour les Français, il y avait dans les années 70 un footballeur surnommé « l’ange vert », mais j’ai oublié son nom. Il avait été exclu de l’équipe de foot de son lycée!!