On a coutume de dire « celui-ci est optimiste, ou celui-là est pessimiste » car chacun a une tendance à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide ou inversement. C’est son caractère, c’est sa façon de voir la vie…
Pas sûr ! Car même la personne la plus pessimiste garde tout de même toujours une petite zone d’espoir, même minime. Sinon elle ne pourrait pas survivre.
Il est désormais prouvé que les émotions et nos pensées ont une influence directe sur nos cellules. Le stress est à l’origine de 70% de nos problèmes de santé. A chaque émotion notre corps réagit : la gorge se noue, le coeur bat plus vite et à chaque émotion négative, des substances chimiques toxiques se déversent dans le sang. Si nous bombardons des années durant nos cellules de ces substances chimiques reliées à des émotions telles que l’anxiété, le manque de confiance, la colère, la frustration, le chagrin , la rancœur, etc…, il est certain que notre corps, malgré toute sa bonne volonté à nous garder en santé, ne pourra maintenir l’équilibre et apparaîtront toutes sortes de désordres physiologiques, neurologiques, psychologiques et autres. Et notre santé se détériorera inexorablement.
Il est donc incontestablement préférable de ne pas rester dans ces émotions négatives et cette manière pessimiste de voir la vie. L’optimisme n’est pas seulement un état d’esprit, il est une nécessité vitale dans notre environnement d’aujourd’hui.
Peut-on s’entraîner à être optimiste ? Peut-on changer son état d’esprit ?
La réponse est oui…
Comment devenir optimiste ?
Quand nous prenons conscience à quel point il est préjudiciable de baigner jour après jour dans une atmosphère toxique et des émotions qui nous rendent malades, nous pouvons décider de changer nos lunettes et notre optique.
Nous avons le choix de décider de changer ou de rester dans cette zone grise et néfaste du pessimisme ambiant.
Ce n’est pas simple de changer d’état d’esprit, c’est vrai, mais nous pouvons nous entraîner jour après jour à devenir optimiste. Il suffit de le vouloir et d’avoir le mode d’emploi.
Entrainement à l’optimisme : quelques pistes
- Respirer
- Rire
- Humour, savoir rire des événements, de soi même , mais pas au dépens des autres
- Recul, prendre de la hauteur
- Se défaire de la susceptibilité
- Libérer l’enfant qui sommeille en nous
- Mettre de la fantaisie dans sa vie quotidienne
- Ajouter de la légèreté, voire même de la dérision aux difficultés
Héléna Cournelle (www.vouseteslecoachdevotrevie.com)
Source : http://inesens-coaching.com/2014/01/14/optimisme-envers-et-contre-tout/#more-92
Dîners des Optimistes pour le Printemps de l’Optimisme
De nouveaux Dîners des Optimistes, avec des animations positives, conférences, concerts, échanges, sont programmés dans toute la France la semaine du 16 mai : Paris, Amiens, Lille, Metz, Lyon, Nice, Toulon, Marseille, Aix, Toulouse, Bordeaux, Nantes, Quimper, et d’autres villes (Les Sables d’Olonne, La Rochelle…)
Les programmes de tous les Dîners des Optimistes sont présentés ici : Tous-les-diners-des-optimistes et dans l’onglet « Diners des Optimistes » sur le site LigueDesOptimistes.fr
Inscrivez-vous vite, certains de ces dîners sont déjà pris d’assaut !
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Quel optimistes êtes-vous ?
Vous pouvez réagir en laissant un commentaire.
J’ai choisi d’être optimiste.
Non par convenance ou obligation.
Juste parce que cette attitude est plus porteuse.
Et qu’elle tranche avec des principes répandus et inefficaces dont la sinistrose est une manifestation quasi permanente.
Enfin, l’optimisme n’empêche ni de voir une situation comme elle est ni de réfléchir à son issue : au contraire, c’est une source d’inspiration, libérant créativité, envie et action.
Le cocktail gagnant…
J’aurai donc du mal à cacher… mon optimisme !
« Et pourtant, je savais qu’il y avait une autre voie. Je savais qu’il existait, quelque part en ce vaste monde, des optimistes qui pourraient étayer mes arguments – des optimistes plus aguerris et mieux informés que moi. Des optimistes à la fois charmants et charismatiques, sans couettes ni taches de rousseur. Je savais que ces gens existaient. Je les avais vus à la télé, je les avais entendus à la radio – si seulement je pouvais me rappeler leurs noms. Ils vivaient leur vie à l’abri des regards. Ces optimistes étaient heureux et débordants d’énergie. C’était précisément ce qui me plaisait chez eux. Ils sautaient du lit tous les matins pour changer le monde. Ou bien ils se contentaient de surfer, d’escalader des montagnes, de sauter en parachute du haut de falaises hawaïennes, sans en demander plus à la vie. Ils se fichaient des infos. Ils n’avaient rien à prouver. C’étaient les êtres humains idéaux.
Allongé dans mon lit par ce matin d’été, le visage profondément enfoncé dans l’oreiller, je compris tout d’un coup se qui clochait dans ma vie. Ce n’étaient pas seulement les infos. C’était moi. J’avais besoin de ce je-ne-sais-quoi, de cette énergie optimiste. Bien sûr j’étais un optimiste – mais un spécimen mou et sans grande conviction de l’espèce. Je vivais dans le confort, entouré d’amis et de parents, dans l’une des villes les plus géniales de la planète, et pourtant quelque chose n’allait pas, une chose qui n’était pas encore…ce qu’elle devrait être. Je n’avais pas la foi; je n’avais pas le « Facteur Saut du Lit ».
Et s’il y avait une chose dont j’avais besoin, c’était bien le FSL. Les autres l’avaient, pourquoi pas moi ? »
Laurence Shorter, « Le secret de l’optimiste, le tour du monde d’un acharné du bonheur », p14.