CalimeroUne recherche révèle que se plaindre vous rend littéralement malade et vous tue à petit feu

Tout le monde se plaint à un moment ou un autre, mais jusqu’à quel point la plainte est-elle bonne pour la santé ?
On pourrait la considérer comme une simple décharge de frustration et la justifier comme un moyen nécessaire pour rester sain d’esprit.

Une personne moyenne se plaint au moins une fois par minute au cours d’une conversation.
Etant donné que nous faisons tous l’expérience de la négativité ou de situations non désirées dans notre vie, c’est un terrain sur lequel nous pouvons tous nous identifier.
En fin de compte, rien ne change vraiment grâce à nos plaintes ou tous les sentiments et pensées négatifs que nous dissipons et qui finissent par nous affaiblir.
Axés à l’origine sur le négatif comme un moyen de survie, nous aurions tendance à être plus en accord avec ce que nous ne voulons pas ou apprécier de le changer (d’y apporter un changement). Plus nous posons notre regard sur quelque chose qui peut être blessant, plus nous sommes programmés pour être sur nos gardes.

Se plaindre est une façon de reconnaître un problème sans essayer de le régler. Cela alimente le problème avec plus d’énergie et crée plus de stress. Les plaintes sont à égalité avec le tabagisme lorsqu’il s’agit de notre système de soins de santé.
Le stress causé par le fait de se plaindre endommage constamment les neurones dans l’hippocampe et altère sa capacité à créer de nouveaux neurones ou des chemins neuronaux. L’hippocampe est la partie du cerveau utilisée pour résoudre les problèmes et le fonctionnement cognitif.

Lorsque vous écoutez quelqu’un d’autre se plaindre cela vous affecte de la même manière que si c’était vous-même qui vous plaigniez. Voici quelques façons de limiter les effets de la plainte.

Identifiez la plainte, suivez sa fréquence, prenez conscience à chaque fois que vous vous plaignez, et pourquoi vous le faites
Une plainte et une constatation sont différentes dans le sens où l’une est une déclaration et l’autre est un sentiment ou une opinion jointe à la déclaration. « Il fait vraiment chaud à l’extérieur » est une observation. Elle devient une plainte lorsque vous y ajoutez « Il fait vraiment chaud à l’extérieur, et je commence en avoir marre ».
Soyez attentif lorsque vous annoncez une plainte et jusqu’à quel point vous le faites. Vous pouvez le faire devant votre écran ou même en vous parlant à vous-même. Comprendre à quel point cela est un vrai problème est une première étape.

Prenez vos distances avec les pleurnicheurs incorrigibles
Maintenant, vous savez à quel point il est nuisible d’être entouré de personnes qui se plaignent constamment. Si vous êtes coincé dans une situation ou un lieu, essayez d’être proactif et productif vis à vis des problèmes, et proposez des solutions.

Transformez la plainte en quelque chose d’autre
Par exemple avec des déclarations positives telles que « Je n’aime pas conduire pour aller au travail, mais je suis reconnaissant d’avoir un emploi ». Ne laissez pas vos paroles finir sur une note négative.
Une autre excellente façon de le faire est par le changement. « Je dois aller au travail » peut être remplacé par « J’ai la chance d’aller travailler aujourd’hui ».

Par Sandra Véringa

Prochains Événements Optimistes :

– 6ème Dîner des Optimistes de Tours le 13 mai 2016 sur le thème « Etre un parent optimiste »
Les intervenant(e)s :
. Anne Claire CHENE : « Pleurs et besoins des tout petits » – Chercheur et formateur en relation de confiance
. Frédérique MIQUEL : « A l’école de la confiance » – Chercheur en sciences de l’éducation, coordinateur pédagogique Objectif 100 %
. Sandrine PORCHER : « Les bienfaits de la confiance et de l’enthousiasme dans l’éducation »-  Formatrice et coach parentale SOS Relations Enfants
. Daniel LAMOTTE : « Des jeunes Prêts Pour la Vie, avec la communication bienveillante » – Président PPLV-Centre
. Nathalie Reinhardt et Paul Herlaut : « Une autorité juste pour des enfants épanouis » – Association Ateliers Gordon
. Et le témoignage de Katleen AUGER « Avant j’avais des principes… Maman d’une grande prématurée »
Venez passer un agréable moment en compagnie d’autres optimistes, faites de nouvelles rencontres positives, enrichissez votre esprit en participant à des débats positifs et repartez gonflé à bloc…
Réservez vite le vendredi 13 Mai 2016 à 19 heures !
Lieu : restaurant EASY BIO 15 Rue Arthur Rimbaud à Tours
Prix : 25€ TTC comprenant apéritif, entrée, plat, dessert, café et animations positives !
Inscription obligatoire dès que possible par mail à louise.gentilhomme@gmail.com et surtout envoyez votre chèque de 25 € immédiatement (votre inscription ne sera prise en compte qu’à réception du règlement à l’ordre de EASY BIO) à envoyer chez Louise Gentilhomme, 36 allée Jean-Baptiste Carpeaux 37170 Chambray-lès-Tours (ne pas envoyer de chèque directement au restaurant, merci)

– La Nuit de l’Optimisme le 20 Mai 2016 de 17h à minuit au 6B à Saint-Denis.
Après 2 années de succès, la version 2016 sera une soirée où la rencontre avec l’autre sera l’objet de toutes nos attentions. Un temps pour vivre la fraternité, se mettre dans la peau des autres, accueillir la différence comme un cadeau, faire de la place pour les désaccords féconds, cheminer ensemble.
Informations et réservations : Christine Cayré – Affaires d’Optimisme : christine.cayre@affaires-d-optimisme.com

Premier Dîner des Optimistes en Lot-et-Garonne le 18 juin à l’auberge du Brelan à Tournon d’Agenais.
Au menu : Kir de bienvenue, Tourteau aux poireaux, Asperges vertes et jus passion, Magret grillé aux mille et une saveurs, Duo de fromages sur sa salade, Fraisier. Vin rouge et rosé en carafe. Café.
– Participation : 30 euros par personne
– Informations et réservation au 06.07.95.22.91 ou par mail : bertrand.calmeil@tsf47.net 

PS : Soutenez notre mouvement en adhérant à Ligue des Optimistes de France (cliquez ici pour voir comment faire)